Il y a des livres qui nous marquent et qui nous font réfléchir et prendre conscience de nous-même peu importe le nombre de fois où on les lit.
C’est le cas de « L’homme qui voulait être heureux » de Laurent Gounelle.
Ce livre offert par ma cousine il y a des années m’a marqué. A l’époque je le picorais afin de prendre le temps de réfléchir à son contenu et à ma vision des choses.
Aujourd’hui, je m’y replonge en plein changement de vie et je vous le conseille.
« Quand on croit quelque chose sur soi, que ce soit en positif ou en négatif, on se comporte d’une manière qui reflète cette chose ».
Cette phrase m’a fait prendre conscience de l’importance de relativiser et m’a fait réfléchir à mon comportement.
Alors bien sûr, face à certaines difficultés ou à leur cumul, j’ai comme tout le monde des coups de blues, des doutes et des moments découragements.
Je cherche dans ces moments-là à me changer les idées, à prendre l’air ou à me défouler. Bon ça se termine souvent en long bain avec un bon livre avant une soirée « séries » enroulée sous la couette avec du chocolat (la base en fait).
Mais le lendemain j’essaie de prendre du recul pour voir les choses différemment. En m’obligeant à être plus positive, j’arrive à l’être réellement au moins quelques instants.
De plus, j’ai envie d’être avec des gens positifs afin de rester dans un cercle vertueux qui me fait du bien et qui me rebooste afin d’aider les autres à mon tour.
« J’ai peur de me faire rembarrer, donc je préfère ne pas prendre le risque ».
Alors là, c’est tout moi et pendant des années, j’ai été comme ça sans même en avoir conscience.
Je vivais ma vie sans vraiment la vivre car j’avais envie de plein de choses mais je n’osais pas. Il a fallu des années pour que je prenne conscience que je n’avançais pas car je m’en empêchais. Tant que je ne faisais rien, tout était possible, je pouvais réussir.
Résultat, je ne faisais rien et donc je faisais du sur-place.
Encore aujourd’hui, je me bloque moi-même parfois dans mes projets, jusqu’à ce que je m’en rende compte et me « bouge les fesses »….
J’ai surligné des dizaines de passage dans ce livre qui inspire chacun à leur manière.
Je finirais par une dernière qui reflète à la fois notre évolution personnelle et notre choix d’indépendance.
« Plus on évolue dans sa vie, plus on se débarrasse des croyances qui nous limitent, et plus on a de choix. Et le choix, c’est la liberté. »
Qu’en pensez-vous ?